Contrairement aux idées reçues, les centrales nucléaires ne sont pas tant polluantes. La partie la plus polluante des centrales est leur construction. Avec des productions égales, les énergies renouvelables utilisent jusqu’à 16 fois plus de matériaux. Le bilan CO2 du nucléaire est le plus faible; en France il est 10 fois moins élevé que le bilan solaire.
Le CO2 ne forme qu’une toute petite partie de l’atmosphère, il ne peut pas avoir une influence sur elle. Ceci est totalement faux, prenons l’exemple du cyanure, il suffit de 0,1 gramme de cyanure pour tuer un adulte, ce qui représente environ 0,0001 % de votre poids corporel. Comparez cela avec le dioxyde de carbone, qui constitue actuellement 0,04 % de l'atmosphère et qui est un gaz à effet de serre important. Pendant ce temps, l'azote représente 78 % de l'atmosphère et pourtant, il est très peu réactif.
La fast-fashion, traduit littéralement par “mode rapide”, désigne le fait de produire des vêtements tres rapidement, très souvent et pas cher. Les prix bas poussent les consommateurs à l’achat. Cependant cette tendance à acheter à des impacts sur la planète. Les individus et les pièces peu portées ou rapidement usées génèrent un gâchis généré par la fast fashion. En Europe, ce gâchis est estimé à 4 millions de textiles par an.
Bien que la technologie soit un outil puissant pour lutter contre le changement climatique, elle ne constitue pas une solution miracle en elle-même. Ses limites en termes de coûts, disponibilité et dépendance à long terme nécessitent une approche holistique. Le défi climatique exige non seulement des innovations technologiques, mais également des changements comportementaux, des politiques gouvernementales et des transformations systémiques pour une réponse efficace et durable. La technologie est une partie essentielle de la solution, mais elle doit être intégrée dans un cadre plus large pour faire face aux complexités du changement climatique.
Bien que le réchauffement climatique ait déjà entraîné des dommages importants, il n'est pas irréversible. Des actions immédiates et concertées telles que la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la protection des écosystèmes, l'innovation technologique et l'adaptation peuvent atténuer considérablement ses effets. Agir dès maintenant est crucial pour limiter les conséquences futures du changement climatique et assurer un avenir plus durable pour les générations à venir.
Selon certaines idées reçues, le réchauffement climatique ne serait qu’un cycle naturel. L'argument des « changements naturels » est conforté par la théorie selon laquelle le climat de la Terre se remet à peine des températures plus fraîches du Petit ge glaciaire (1300-1850) et que les températures actuelles sont les mêmes que celles de la période de réchauffement médiéval (900-1300). Le problème est que le Petit ge glaciaire et la période de réchauffement médiéval n'étaient pas des changements globaux mais régionaux dans le climat affectant l'Europe du Nord-Ouest, l'Amérique orientale, le Groenland et l'Islande. Une étude utilisant 700 relevés climatiques a montré qu'au cours des 2 000 dernières années, un seul changement climatique dans le monde a eu lieu en même temps et dans la même direction, et il s'est produit au cours des 150 dernières années: plus de 98 pour cent de la surface de la planète s'est réchauffée.
Les actions individuelles ne comptent pas. Chaque geste individuel compte dans la lutte contre le changement climatique. Ces actions, telles que la réduction de la consommation d'énergie, le choix de modes de vie durables et le soutien aux initiatives écologiques, ont un impact cumulatif significatif. De plus, les choix individuels envoient des signaux aux gouvernements et aux entreprises, influençant les politiques et les pratiques commerciales vers la durabilité. Bien que les actions individuelles ne soient pas une solution unique, elles sont essentielles en tant qu'élément d'une approche plus large, combinant politiques gouvernementales, initiatives d'entreprises et engagement collectif pour créer un changement significatif en faveur de l'environnement.
Les scientifiques manipulent les données pour montrer une tendance au réchauffement. Il faudrait une conspiration couvrant des milliers de scientifiques dans plus de 100 pays pour atteindre l'échelle nécessaire à cette fin. Les scientifiques corrigent et valident des données tout le temps.